laché de Yuriy

Bonjour Serge et Geneviève.

Je m’excuse d’avance, car je ne maîtrise pas idéalement la langue de Molière…

Je m’appelle Yuriy, 46 ans, passionné par tout ce qui vole depuis toujours. Pouvoir voler c’était un rêve imparable, car venant d’Ukraine à l’époque les écoles de Pilotage n’existait pas, mais grâce à vous Serge et Geneviève, Jeremy, Erwan et Bertrand mon rêve est devenu réalité. 

Une école et un Club Véliplane: Des instructeurs compétents qui connaissent bien leurs métier et des gens bienveillants qui m’ont accueilli avec chaleur et amitié. 

Je serais content de continuer de voler en tant que pilote breveté encadré par des instructeurs professionnels et bienveillants.

À bientôt…

Yuriy 

laché de jean-François

J’ai été lâché en ULM PENDULAIRE, solo tour de piste ce lundi 1 août au matin.

Un grand merci à Véliplane de Meaux Esbly et a son équipe, particulièrement à mon instructeur Romane pour sa disponibilité, sa gentillesse, sa compétence. Vraiment.

Et bien sûr à Serge et Geneviève pour leurs accueils dans cette structure très professionnelle qui forme à tout type d’ULM. Pendulaire, 3 axes, autogyre avec les autres instructeurs auxquels je pense mais que je ne peux pas tous citer. 

Il me reste, bien sûr, à poursuivre cette formation mais je sais que cela sera possible grâce à de cette équipe.

Merci encore pour cette expérience inoubliable d’un premier vol solo.

Les conditions étaient parfaites.

Bons vols a tous.

Bonnes vacances à Serge et Geneviève. 

Jean François 

Laché de Alexandro

Je suis toujours sur un nuage, mon rêve de devenir pilote ce réalise, ça été mon premier vol solo, des conditions météo top, des exercices avant réalisé avec beaucoup de précision et mon vol solo l’aboutissement de ma formation au sein de veliplane.

Une structure professionnelle que pendant les mois de ma formation mes guides m’ont appris à piloter, je remercie mes instructeurs Erwan et Jérémie qui mon suivi tout mon parcours aussi Bertrand qui avec sont calme ma soutenu et aide,  et Serge qui m’a remis en question pour réussir mes navigations futures.

Je n’est jamais senti de danger, toujours à la recherche de la sécurité même avec des conditions parfois limites, un grand merci au Patron Serge qui avec sont esprit espagnol ma parle siempre en espagnol durante los vuelos 🤣 et Genevieve toujours a l’écoute et un sourire que dit beaucoup sur sa gentillesse, merci au Veliplane pour ma formation de pilote multi axe.

Je vous garderai toujours dans mon cœur

Alexandro

Laché de Vincent

Bonjour Geneviève… 

Bon, je me lance ! Trop long, mais tu peux couper!

Bonjour, je me présente : Vincent, 52 ans et passionné par tout ce qui vole depuis… au moins 49 ans avec mon premier jouet d’avion !

Après une expérience du vol à voile (aujourd’hui, on dit planeur) sur Coulommiers, avec environ 1200 heures de vol, j’ai arrêté de voler il y a 16 ans par manque de temps…. Mais je n’ai jamais réussi à ne pas regarder le ciel bien longtemps !

Il n’a fallu qu’une étincelle avec un vol en montgolfière l’été dernier (je pensais à tort que cela ne se pilotait pas) pour me dire qu’il était temps de remettre mes fesses dans un truc avec des ailes !

Chose faite en Octobre, et au bout de 3 vols, Jérémy me propose de voler seul… je refuse, car je n’avais pas bien dormi (je ne lui ai pas expliqué, mais l’important est de se connaître !), mais cela n’a été que partie remise quelques vols après.

Au final, je dirais que voler ne s’oublie pas et que le planeur se transpose bien à l’ULM. Pourtant, il ne faut pas négliger les choses à apprendre, et en particulier, la gestion de la radio (bien plus pointilleuse, merci les instructeurs et l’aérodrome contrôlé), la gestion moteur, mais aussi apprendre à voler bas, presque à l’altitude ou j’envisageais de choisir mon champs! Mais se poser dans un champ en planeur est un non-événement (surtout pour moi, j’ai plusieurs fois gagné la coupe des vaches!🐄). Voir l’hélice immobile ne me fait pas monter le palpitant…

Au final, Dimanche dernier, c’était mon vol d’examen avec Erwan… un vrai plaisir avec une super pause à Melun avec de magnifiques avions et un bon café. Erwan toujours là pour rappeler à l’ordre (parfois en silence) sur les imprecisions.

C’est clair, encore plein de choses à apprendre, tant en l’air que sur les machines, et sur la préparation des vols. Je n’ai pas fini de voler avec des instructeurs qui ont toujours des points à partager.

Une autre étape avec du plaisir s’annonce, et des questions sur les machines qui me font briller les yeux, mais chaque chose en son temps!

Je suis toujours aussi content de la qualité de l’encadrement du club, sérieux sans être prise de tête.

A bientôt,

Vincent

de SIMON

Salut !!!

Avec beaucoup de retard mais voilà enfin ma petit prose.

J’en profite pour vous souhaiter une magnifique année et j’espère vous revoir très bientôt !!!

Salutation à toute l’équipe !

Se réveiller au bruit assourdissant des grandes portes du hangar, ouvrir celle de sa chambre et jeter un coup d’œil sur le parterre de machines volantes n’attendant que de s’envoler. Descendre ensuite boire son café en regardant la manche à air, accompagné par les premiers arrivants : élèves, pilotes ou instructeurs. Quelques discussions, quelques débats autour de l’évolution de la météo, et voilà que déjà les premiers équipages préparent leurs appareils et s’envolent. N’est-ce pas un magnifique moyen de débuter une journée !? Et bien c’est ce à quoi j’ai eu droit durant mes deux stages au Véliplane. Un club ou l’ambiance et la convivialité est toujours présente. On y rencontre des jeunes pilotes, des moins jeunes, mais parmi eux de grands pilotes. Plus globalement, tout une panoplie de gens de multiples horizons qui ont des tous de belles choses à partager, autour de cafés, de verre (quand les avions sont rangés !) ou autour de repas dont le nombre de participants n’est jamais prévisible.

Bon, c’est bien beau tout ça, mais on n’est pas là que pour passer du bon temps… Il s’agirait de devenir instructeur également… Dès mon arrivé, je commence par prendre en main les machines du club. Puis, on reprend les bases, on tente de combler les lacunes et d’explorer nos limites. On vole, mais on re-bouquine aussi la théorie et l’on passe un temps considérable devant un tableau à faire des dessins d’avion, de vecteurs, de pentes… Puis, viennent très vite les premiers élèves. On apprend non plus à piloter avec les mains, mais avec la voix. Il est très perturbant au départ, de lasser faire l’élève « faux » et lui faire corriger sans prendre soi-même les commandes. C’est encore là que j’ai pu profiter de la grande expertise de mes formateurs qui ont autant su m’aiguiller aussi bien sur l’aspect pédagogie que sur le pilotage. D’ailleurs ces formateurs, parlons-en : Pour moi une des grandes forces du Véliplane, c’est le fait de pouvoir apprendre avec beaucoup d’instructeurs différents, ayant tous des points de vue différents sur notre pratique. Ainsi on peut par exemple profiter sur un même sujet de l’expérience d’un pilote de ligne, d’un ancien pilote de brousse, ou encore d’un multiple champion d’ULM ; Ceci toujours accompagné d’une grande pédagogie et dans un sympathique climat de travail.

Ci-dessous Simon et son père, difficile des les reconnaitre, les paûvres :-).

Un immense merci à toute l’équipe du Véliplane tout particulièrement Geneviève, Erwan, Philippe, Enrico, Serge et Jérémy, pour leur accueille leur gentillesse et leurs investissements dans ma formation !

À très bientôt dans ce lieu devenu incontournable qu’est le Véliplane !

Amivolement

Simon

de frédéric

Merci pour ton petit mot Frédéric

C’est top ! Serge

Petit mot d’un bref mais intense passage au camping Véliplane de Meaux !

Un mail le vendredi pour avoir quelques renseignements et le jour même par téléphone, un rdv était pris pour le lendemain matin ! Un accueil chaleureux par Serge qui revient tout juste de vol en autogyre. Toujours emmitouflé dans son épaisse combinaison, il dégaine le fameux « petit café » de bienvenue et c’est parti.

Quelques explications plus tard sur mon projet et sur le contenu d’un stage de mise à niveau instructeur et me voilà invité à venir passer une semaine avec mon camping-car sur la dalle du hangar.

Confié aux mains expertes de Jéremy VD, j’ai passé une semaine intense et enrichissante aux commandes du Ninja 100 cv. Scrutant le ciel à la recherche de la moindre fenêtre météo (temps pourri à la Toussaint), il aura fallu concilier entre patience et persévérance pour maîtriser la bête dans tout son domaine de vol. Mais nous y sommes parvenus dans les délais prévus, beau challenge !

Côté convivialité, rien à dire. Peu importe la météo : Geneviève, Serge, les instructeurs (surtout JVD que je remercie tout particulièrement), les pilotes ou les élèves de passage entretiennent une ambiance sympathique et chaleureuse où s’entrecroisent des discussions sérieuses (forcément sur l’aéronautique, le reste on s’en fou …) et de franches rigolades éclaboussées parfois par quelques binouzes (uniquement après le dernier vol).

Ensuite j’ai attendu les météo encore plus pourries de décembre pour passer et réussir mon test IULM.

Ce n’est pas Disney Land, c’est Vélip Lane : pas d’attente à l’embarquement et sensations garanties pendant le tour !!! Une école sérieuse où l’on ne se prend pas au sérieux.

Fred CHP

prose de Jan (prononcer yann)

Quand j’ai décidé de commencer une formation pour devenir instructeur, bien évidemment je me suis tourné vers le club Véliplane de Serge et son équipe.  Je connaissais bien le club puisque je le fréquente depuis 2015.  J’apprécie l’esprit familial, amical mais en même temps professionnel ; on est toujours bienvenue et bien accueilli. 

« Bonjour Serge »

  • « Ah bonjour Jean ! »

« Ce n’est pas Jean mais Jan …. »

  • « ah oui merde, c’est Jan …. Comment tu vas Jean ? »

Au début de la formation, la route semblait longue …. Ce n’était pas qu’une impression, car il y avait du travail afin de pouvoir atteindre le niveau nécessaire pour commencer la vraie formation en tant qu’Instructeur-Stagiaire.  Grâce aux instructeurs (surtout Erwan et Philippe) – mais aussi grâce à ma propre motivation, car il en faut – et un petit mot encourageant de Geneviève de temps en temps, tout s’est bien passé.  Maintenant c’est fait, je suis instructeur …. Et je remercie toute l’équipe, ainsi que tous les élèves-pilotes avec qui j’ai volé, pour m’avoir permis de réaliser mon projet.

prose de Philippe

  • « Allo ? Pourrais-je parler à Serge ?
  • Lui-même,
  • Je souhaite avoir des renseignements pour une formation d’instructeur ULM 3-axes,
  • Un instant, je suis en voiture, je me gare … »

Voilà comment en quelques secondes le contact est établi et Serge, avec son accent du Midi si chaleureux, me donne rapidement RV le dernier week-end de novembre 2020 pour un entretien approfondi et un premier vol d’évaluation.

Dès ma première arrivée sur le terrain de Meaux, je constate la disponibilité, l’attention, la chaleur humaine… marques de fabrique de Serge et Geneviève Bouchet et de toute l’équipe Véliplane, tout cela teinté d’un joyeux désordre, mais seulement en apparence car je constaterai rapidement que la rigueur est omniprésente.

Je fais aussi connaissance avec mes futurs formateurs (Philippe, Erwan, Enrico…) excellents pilotes aux personnalités attachantes.

J’entame donc ma phase d’évaluation, en même temps que je me familiarise avec les machines (Nynja, Alpha Trainer, Zenair 601), le terrain avec ses 4 pistes et les environs de Meaux.

Au bout de 6/7 heures de vol en double commande, me voici lâché sur Alpha Trainer et Nynja. Nous sommes fin février 2021, et l’on va pouvoir passer aux choses sérieuses : la formation initiale !

Cette phase étrange où en place droite, je suis tour à tour élève puis instructeur. Et les vols s’enchaînent de nouveau, ainsi que les briefings au sol.

Ah les briefings… chacun y va de sa méthode mais on ne s’attarde jamais : il faut être concis et clair sans entrer dans de la théorie fumeuse car l’essentiel est que le futur élève retienne les éléments clé de chaque vol.

On est mi-avril 2021 et après un peu plus de 20 heures de vol cumulées, et surtout le feu vert de Serge, me voici Instructeur Stagiaire, étape cruciale où je vais enfin travailler avec de vrais élèves.

Une petite parenthèse : je parlais de « joyeux désordre » au début de cette prose. Tout au long de ma formation, j’ai constaté la plus grande rigueur de toute l’équipe. Tout se sait ou finit par se savoir car l’équipe se parle sans compter le 6ème sens (ou le 7ème ?) de Serge à qui RIEN n’échappe. Mais JAMAIS je n’ai constaté de paroles désobligeantes. Tout se fait dans la franchise et dans le respect de l’autre.

Je constate dès mon premier vol avec élève que l’instruction vient naturellement et surtout… que rien ne vaut le large sourire de l’élève pilote une fois le moteur arrêté au parking : moment précieux où le vol est débriefé à chaud, avant de formaliser la progression de l’élève dans sa feuille de suivi.

Les vols avec élèves s’enchaînent, tous si différents, mais à chaque fois avec cette envie de progresser qui est très motivante pour l’instructeur en devenir que je suis. Certains sont parfois découragés, et je mets en œuvre mes ressources pour remotiver l’élève (n’est-ce pas Jacques ?) Et quel plaisir de constater qu’après cette mauvaise passe, l’élève repart de plus belle !

En parallèle il faut assurer des cours magistraux, obligatoires dans la formation d’instructeur. Et l’équipe se mobilise pour lancer des appels aux élèves désireux de renforcer leur bagage théorique. Et ça marche ! Au départ très formel, voire trop abstrait, sous les conseils d’Erwan ou de Serge, voire des élèves eux-mêmes, je me décoince et deviens plus fluide dans mes explications au tableau.

Juillet 2021, ma formation touche à sa fin après plus de 20 heures d’instructeur stagiaire et, là encore, Serge donne son feu vert pour l’examen final. Un peu de paperasse et la date est fixée au 22 juillet. Avec juste ce qu’il faut comme stress (positif donc), on enchaîne cours magistral, briefing, prévol, puis vol en 2 phases (mania puis cours sur le virage, le thème choisi par Philippe, mon examinateur). Tout s’enchaîne rapidement pour se terminer par une dernière PTE en 07.

Arrivé au parking, Philippe, me dit : « c’est bon ».

Pas évident de réaliser à ce moment-là tout le chemin parcouru en 8 mois (beaucoup de week-end !), plus de 50 heures de vol, plus de 6000 km en voiture (Versailles – Meaux…)

Certes mon bilan carbone est largement négatif… par contre le bilan humain est super positif : que d’échanges conviviaux, de repas dans une ambiance familiale, de moments de partage, d’entraide. Que de choses apprises dans ce monde fabuleux de l’ULM.

Merci à toute l’équipe, mais aussi à Silvia, ma chère et tendre, qui m’a encouragé tout au long de cette aventure.

Philippe Saint-Marc

Versailles, le 27 juillet 2021

Formations et baptèmes ULM à Paris